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Georgette Buigny, dite Simone Renant, est une actrice française, née le 19 mars 1911 à Amiens et morte le 29 mars 2004 à Garches.
Simone Renant entre en 1926 au conservatoire d'Amiens, dont elle sort deux ans plus tard avec un premier prix d'art dramatique. Elle vient alors à Paris et passe trois ans au conservatoire de la rue de Madrid, où elle obtient en 1932 un second prix.

Famille
Elle épouse successivement Charles Weiskopf, le réalisateur Christian-Jaque puis le producteur Alexandre Mnouchkine.

Carrière artistique
Elle débute à la scène avec André Luguet puis au théâtre du Vieux-Colombier dans des rôles classiques, puis au cinéma, en 1932, avec La Folle Nuit, puis Escale en 1935. Sur le tournage des Perles de la couronne de Sacha Guitry, elle rencontre Christian-Jaque qu'elle épouse en 1940. En 1943, elle est Marie-Ange (avec Jean Marais) dans Voyage sans espoir de Christian-Jaque. L'un de ses meilleurs rôles sera celui d'une photographe dans Quai des Orfèvres en 1947.

Elle est membre du jury du festival de Cannes 1960.

Elle est inhumée à Marly-le-Roi.

Théâtre
1933 : Le Bonheur d'Henry Bernstein, mise en scène de l'auteur, Théâtre du Gymnase
1935 : Margot d'Édouard Bourdet, mise en scène Pierre Fresnay, Théâtre Marigny
1935 : Y'avait un prisonnier de Jean Anouilh, Théâtre des Ambassadeurs
1937 : Les Vignes du seigneur de Robert de Flers et Francis de Croisset, Théâtre de la Michodière
1937 : Baignoire B. de Maurice Diamant-Berger, mise en scène Jean Wall, Théâtre Marigny
1938 : Femmes de Clare Boothe, adaptation Jacques Deval, mise en scène Jane Marnac et Juliette Delannoy, Théâtre Pigalle
1939 : Roi de France de Maurice Rostand, mise en scène Harry Baur, Théâtre de l'Œuvre
1942 : Une jeune fille savait d'André Haguet, mise en scène Louis Ducreux, Théâtre des Bouffes-Parisiens
1944 : Monsieur chasse ! de Georges Feydeau, mise en scène Jean Darcante, Palace
1946 : Jeux d'esprits de Noel Coward, mise en scène Pierre Dux, Théâtre de la Madeleine
1947 : Nous irons à Valparaiso de Marcel Achard, mise en scène Pierre Blanchar, Théâtre de l'Athénée
1948 : Nous irons à Valparaiso de Marcel Achard, mise en scène Pierre Blanchar, Théâtre des Ambassadeurs
1950 : Le Voyage de Henry Bataille, mise en scène Henri Bernstein, Théâtre des Ambassadeurs
1950 : Victor de Henry Bernstein, mise en scène de l'auteur, Théâtre des Ambassadeurs
1953 : Treize à table de Marc-Gilbert Sauvajon, mise en scène de l'auteur, Théâtre des Capucines
1954 : Treize à table de Marc-Gilbert Sauvajon, mise en scène de l'auteur, Théâtre des Célestins
1956 : La Gueule du loup de Stephen Wendt Marc-Gilbert Sauvajon, mise en scène Marc-Gilbert Sauvajon, Théâtre de la Porte-Saint-Martin
1957 : Patate de Marcel Achard, mise en scène Pierre Dux, Théâtre Saint-Georges
1959 : Le Cœur léger de Samuel Taylor et Cornelia Otis Skinner, mise en scène Jacques Charon, Théâtre de l'Athénée
1961 : Que les hommes sont chers ! de Jaime Silas, mise en scène Robert Manuel, Théâtre Daunou
1962 : Le Guilledou de Michael Clayton Hutton, mise en scène Robert Manuel, Théâtre Michel
1964 : Les Œufs de l'autruche de André Roussin, mise en scène de l'auteur, Théâtre de la Madeleine
1975 : Le Système Ribadier de Georges Feydeau, mise en scène de Robert Manuel, Théâtre Edouard VII
Filmographie
Cinéma
1932 : La Folle Nuit de Robert Bibal et Léon Poirier
1935 : Escale de Louis Valray : Marcelle
1936 : La Moule de Jean Delannoy - court-métrage
1936 : On ne roule pas Antoinette de Paul Madeux et Christian-Jaque : Antoinette
1936 : L'Ange du foyer de Léon Mathot
1936 : L'École des journalistes de Christian-Jaque
1936 : La Mystérieuse Lady de Robert Péguy
1937 : Les Pirates du rail de Christian-Jaque : Marie Pearson
1937 : Les Perles de la couronne de Sacha Guitry et Christian-Jaque : la comtesse du Barry
1940 : Elles étaient douze femmes de Georges Lacombe : Gaby
1941 : Mam'zelle Bonaparte de Maurice Tourneur
1942 : La Duchesse de Langeais de Jacques de Baroncelli, d'après le roman d'Honoré de Balzac : Émilie de Fontaine
1942 : Lettres d'amour de Claude Autant-Lara
1942 : Romance à trois de Roger Richebé : Huguette
1943 : Domino de Roger Richebé : Laurette
1943 : Voyage sans espoir de Christian-Jaque : Marie-Ange
1945 : L'Ange qu'on m'a donné de Jean Choux
1946 : La Tentation de Barbizon de Jean Stelli : Angel / Eva Parker
1946 : Le Mystérieux Monsieur Sylvain de Jean Stelli
1947 : Quai des Orfèvres de Henri-Georges Clouzot : Dora Monier
1948 : Après l'amour de Maurice Tourneur
1948 : Bal Cupidon de Marc-Gilbert Sauvajon
1950 : Pas de pitié pour les femmes de Christian Stengel
1950 : L'Homme de joie de Gilles Grangier
1951 : Tapage nocturne de Marc-Gilbert Sauvajon
1951 : Le Fils de Lagardère de Fernando Cerchio
1953 : La nuit est à nous de Jean Stelli
1954 : Boulevards de Paris de Mitchell Leisen
1954 : Escale à Orly de Jean Dréville
1955 : Napoléon de Sacha Guitry et Eugène Lourié - scène coupée au montage -
1956 : Si Paris nous était conté de Sacha Guitry : Marquise de V…
1957 : Les Œufs de l'autruche de Denys de La Patellière
1958 : Sans famille de André Michel
1958 : Échec au porteur de Gilles Grangier : Denise Giraucourt
1958 : Faibles Femmes de Michel Boisrond : Marguerite Maroni, la mère d'Hélène
1959 : Les Liaisons dangereuses 1960 de Roger Vadim : Mme Volanges
1960 : La Française et l'Amour, sketch La Femme seule de Jean-Paul Le Chanois: L'avocate
1960 : Vive Henri IV, vive l'amour de Claude Autant-Lara : Charlotte de Trémolle
1961 : Cadavres en vacances de Jacqueline Audry
1964 : L'Homme de Rio de Philippe de Broca : Lola, la chanteuse de cabaret
1969 : Un homme qui me plaît de Claude Lelouch : l'amie de Françoise
1977 : Tendre Poulet de Philippe de Broca : Suzanne
1980 : Trois hommes à abattre de Jacques Deray : la mère de Michel Gerfaut
Télévision
1954 : Nous irons à Valparaiso de Claude Barma
1961 : Les Parents terribles de Jean Cocteau, réalisation Jean-Paul Carrère
1965 : Quelle famille ! de Roger Pradines
1975 : Aurore et Victorien de Jean-Paul Carrère
1979 : Le Petit Théâtre d'Antenne 2 : La Belette de Georges Ferraro
1983 : Liberté-liberté d'Alain Dhouailly
Au théâtre ce soir :
1967 : Treize à table de Marc-Gilbert Sauvajon, mise en scène de l'auteur, réalisation Pierre Sabbagh, Théâtre Marigny
1972 : Les Œufs de l'autruche d'André Roussin, mise en scène de l'auteur, réalisation Pierre Sabbagh, Théâtre Marigny
1975 : Le Système Ribadier de Georges Feydeau, mise en scène Robert Manuel, réalisation Pierre Sabbagh, Théâtre Édouard VII


Studio Harcourt Paris (anciennement le Studio Harcourt) est un studio photographique fondé en 1934 à Paris par la photographe Germaine Hirschfeld (dite Cosette Harcourt), Robert Ricci et les frères Jacques et Jean Lacroix. Il est particulièrement connu pour ses portraits en noir et blanc de vedettes de cinéma et de personnalités.

Situé au 6, rue de Lota dans le 16e arrondissement de Paris, il est détenteur du label « Entreprise du patrimoine vivant » pour son savoir-faire artisanal et industriel d’excellence.
L'histoire du studio est rythmée par une succession de déménagements dans la ville de Paris. Après avoir été rue Christophe-Colomb puis avenue d'Iéna, rue de la Paix, rue Royale, rue des Acacias, rue de Lisbonne et rue Jean-Goujon, il est installé depuis juin 2016 dans un hôtel particulier de 1 000 m2 près de la porte Dauphine.

Création

Cosette Harcourt, photographiée vers 1934 par le studio qui porte son nom.
Le studio de photographie Harcourt est le résultat de l'association de Jacques et Jean Lacroix, hommes de presse, Robert Ricci (fils de la couturière Nina Ricci) et de Germaine Hirschfeld alias Cosette Harcourt (1900-1976)3, une photographe ayant travaillé dans le studio des frères Manuel. Initialement installé au 11 bis, rue Christophe-Colomb dans le 8e arrondissement, cet « atelier de portraits d’art » réalise des images pour la presse d'où sont issus ses bailleurs de fonds, à une époque où de prestigieux studios de photographie comme celui de Reutlinger ferment, faute de clients4. Pour prospérer, le studio se spécialise, grâce au carnet d'adresses de Cosette Harcourt, dans la photographie en noir et blanc des personnalités parisiennes et françaises du cinéma et du milieu de la culture4, réalisant des tirages 24 × 30 cm reconnaissables par leur style et leur mise en lumière aux clair-obscurs prononcés. Le studio doit alors beaucoup au photographe de plateau Raymond Voinquel.

Avant la Seconde Guerre mondiale, Cosette Harcourt, qui est d'origine juive, épouse l'un des frères Lacroix4. Ensemble, ils créent un magazine, intitulé Vedettes, pour servir de débouché aux photographies du studio. Sous l'Occupation, les officiers allemands et des personnalités du régime de Vichy fréquentent les studios, tout comme les Américains à la Libération4. Le couple divorce en 1945.

L'après-guerre
Dans les années 1950, le studio Harcourt retrouve son activité auprès des vedettes du cinéma et du théâtre. Le siège du 49, avenue d'Iéna, que le studio occupait depuis 1938, est vendu en 1968 pour de nouveaux locaux rue Jean-Goujon. Cosette Harcourt meurt en 1976. Le studio s'installe au 8, rue de la Paix en 1980, puis au 10, rue Royale en 1986.

Le studio fait néanmoins faillite fin 1990. Sous l'impulsion de Jack Lang, le ministère de la Culture achète alors le fonds de photographies du studio en 1986, composé de 5 millions de négatifs datant de 1934 à 1991, représentant plus de 500 000 personnes dont 1 500 personnalités5 ; ce compte est diffusé par la Réunion des musées nationaux3. Il est actuellement administré par la Médiathèque de l'architecture et du patrimoine et conservé au fort de Saint-Cyr à Montigny-le-Bretonneux6.

La société est reprise début 1993 par l'un de ses anciens photographes, Pierre-Anthony Allard, pour 421 000 francs7. Le 11 avril 2002, il s'associe à Anne-Marie de Montcalm qui devient propriétaire de la marque8, Allard en demeurant le directeur artistique. Francis Dagnan rachète la société en 2007 et confie la direction générale à Catherine Renard9,10.

En juin 2010, la direction du studio verse une partie de son fonds (antérieur à 1991) sur Wikimedia Commons sous licence libre11,12.

Photographie « Harcourt »
Style Harcourt
Le style Harcourt se caractérise par un plan rapproché du sujet pris sous son meilleur angle, souvent de trois-quart et/ou en contre-plongée, éclairé par une lumière de projecteurs de cinéma généralement latérale ou en halo créant un fort effet de clair-obscur, sur un fond de dégradé du gris au noir. Cet effet de style se retrouve ainsi exploité par d'autres photographes dans des registres différents de celui du cinéma et du monde du spectacle13.

Photographes
Depuis sa création et d’après une estimation[réf. nécessaire] de Francis Dagnan, président du studio, près de 150 photographes ont réalisé les prises de vue du studio Harcourt14.

Stratégies de partenariat
Studio Harcourt Paris mène depuis longtemps une stratégie de partenariats diversifiée avec, par exemple :

Le développement des cabines-studios avec RP Solutions – de type photomaton –, déployées souvent dans des cinémas (MK2 notamment) ou des lieux culturels, réalisant de prise du vue délivrant des portraits réalisés en lumière continue signés « H » dans un format carte postale au prix de 10 €15.
Expositions
2015 : « Le Studio Harcourt », Dalian (Chine), musée des beaux-arts.
De septembre 2016 à janvier 2017 : « Perspectives », Paris, Studio Harcourt.
De février à mars 2017 : « Le Studio Harcourt et le cinéma », Puteaux, hôtel de ville.