Scène de la bataille de Mouzon le 30. août 1870

Guerre franco-allemande 1870-1871

Gravure sur bois originale de 1871 (pas de réimpression - pas de copie)




Dimensions de la feuille 26 x 17,5 cm - Taille du point 21,5 x 14,5 cm - Imprimé au dos.

Comme le texte, les gravures sur bois sont imprimées selon le procédé typographique. Ils étaient utilisés dans les livres et magazines du 19e siècle. siècle à titre d'illustrations, c'est pourquoi ils comportent souvent du texte au dos.

État : peu taché en raison de l'âge, sinon en bon état - voir scan !



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Documentation : Histoire allemande, Guerre franco-prussienne 1870-1871, Guerre des années 70, 70-71, Royaume de Prusse, Empire de France, Royaume de Bavière, Royaume de Wurtemberg, Grand-Duché de Bade, Confédération de l'Allemagne du Nord, Confédération allemande, Armée du Rhin, Armée prussienne, Napoléon III., Otto von Bismarck, Guillaume Ier, Prince Léopold de Hohenzollern-Sigmaringen, Guerre Franco-Allemande, Guerre franco-prussienne, Armée française du Rhin, Armée du Rhin, Lorraine,
Bataille de Beaumont - Dans la nuit du 29 le 30 En août, le V Corps de l'armée de Châlons du général de Failly repose près de Beaumont-en-Argonne. Ce corps était très épuisé par de longues marches et fut dispersé après une marche sur des chemins de terre en mauvais état et à travers les forêts. Les soldats utilisaient le camp de Beaumont pour se reposer. Les premiers Français y arrivèrent vers minuit, les derniers à l'aube. Les Français étaient là, sans le savoir, entre le IV. Corps comme aile gauche de l'Armée de la Meuse de Prince Albert et le Ier Corps bavarois comme aile droite du 3e Armée du prince héritier. Les Bavarois s'attendaient à ce stade à un contact avec l'ensemble de l'armée française et menèrent donc une reconnaissance intensive à l'aide de cavalerie et d'infanterie légère. Deux de ces unités de reconnaissance aperçues en même temps le 30 à midi. Août 1870 les Français se reposent sur les hauteurs de Beaumont. Les Français étaient occupés à s'approvisionner en nourriture et de nombreuses unités dormaient encore. Bien que la population ait indiqué que les Prussiens arrivaient, aucune précaution n'a été prise pour se défendre. À peu près au même moment, les Français sont vaincus par le Prussien IV. Corps d'armée attaqué. Alors que les Français se rassemblaient encore pour une contre-attaque, les premiers Bavarois de la 2e Division se formèrent également. Division d'infanterie et avança. Ils avaient le grand avantage de pouvoir attaquer en descente. Bien que les Bavarois aient déjà fait une longue marche d'env. Après 25 à 30 kilomètres, ils ont été immédiatement attaqués pour profiter de l'occasion. Malgré des pertes importantes dues au fusil Chassepot supérieur des Français, l'attaque a pu avancer si rapidement que le feu français a pu être miné. La vitesse et la surprise constituaient un grand avantage pour les Prussiens et les Bavarois. Cependant, il y avait un grand écart entre les attaquants bavarois et prussiens, ce qui aurait pu être dangereux pour les Allemands en cas de contre-attaque, notamment parce qu'il n'y avait pas de réserves disponibles. Cependant, de nombreux soldats français furent surpris par l'attaque alors qu'ils dormaient encore et les premiers soldats entamèrent alors une fuite sauvage vers Mouzon. Il fallut un certain temps aux troupes françaises pour lancer une contre-attaque, mais celle-ci fut repoussée. Du côté allemand, toute l'artillerie du IV. Corps d'armée un, qui fut plus tard utilisé par des parties de l'artillerie du XIIe Saxon. et le 1er corps d'armée bavarois reçut un soutien. Sur l'aile gauche de la bataille se trouvait le Bavarois 1. Pendant ce temps, la division d'infanterie du lieutenant-général von Stephan continue de marcher sur Raucourt, tandis que la 2e division bavaroise La Division d'infanterie (général von Schumacher) poursuit l'attaque de la 8e La division d'infanterie (lieutenant général von Schöler) soutient Beaumont, qui est pris d'assaut vers 14 heures. Le général von Alvensleben ordonna à ses deux divisions d'avancer davantage vers la ville de Yoncq, la 8e. La Division d'infanterie se voit attribuer la ferme de La Harnoterie, la 7e division désorganisée La division d'infanterie (lieutenant général Groß von Schwarzhoff) s'est rassemblée au nord de Beaumont sur la cote 261. Sous cette pression, l'ensemble du corps français dut battre en retraite via Yoncq car des parties du VII. Le Corps (Division Conseil-Dumesnil) avait été relégué au Corps bavarois, qui à son tour repoussait les forces françaises vers le nord. La route vers Mouzon monte, et ici les officiers français parviennent à arrêter la fuite et à mettre en position artillerie et fusils, infligeant ainsi des pertes importantes aux poursuivants. Les Français subirent leurs plus grandes pertes sur cette route, parfois complètement bloquée par des wagons renversés. Ici, les soldats regroupés étaient sans défense face aux tirs d’artillerie. Le 86ème Un régiment breton y perdit près de 600 hommes. Egalement le 12e, qui se dresse sur la rive orientale de la Meuse. La division de cavalerie (Prinz zur Lippe) avait traversé la rivière près de Pouilly pour attaquer la 24e saxonne. Division d'infanterie (général von Nehrhoff) pour soutenir l'approche de Letanne. Pendant ce temps, le général de Failly avait pris position d'arrière-garde sur les hauteurs près de Yoncq afin de regrouper ses troupes désorganisées sur les hauteurs du Mont de Brune et près de Villemontry. Unités du Saxon XII. Les corps approchaient déjà du soutien via Letanne. De violents combats éclatent autour du faubourg de Mouzon et des hauteurs de Villemontry, qui durent jusqu'à la nuit et à l'issue desquels les troupes françaises sont repoussées dans la vallée de la Meuse. Le soir, le IV campa. Corps d'armée devant Mouzon, les Saxons étaient à droite des deux côtés de la Meuse. Le suivant prussien Le Corps de la Garde, qui n'a pas participé à la bataille, s'est rapproché au sud jusqu'à Beaumont. Derrière le 1er Corps bavarois, l'avant-garde du Ve corps d'armée (général von Kirchbach) avait atteint la ville de La Besace. A gauche, le XI. Le corps d'armée (général von Gersdorff) trouva Stonne déjà évacué, campant là et avec la Tête près de La Verlière. Les Français ont perdu environ. 5 700 soldats tués, blessés et env. 1800 prisonniers. Les pertes des troupes allemandes s'élèvent à 3 400 hommes, la plupart en fin d'après-midi, elles capturent entre autres 28 canons, huit mitrailleuses, 60 wagons de munitions entièrement chargés et divers autres équipements. Le prince Albert de Saxe, qui visita le champ de bataille après la bataille, dîna sous la tente du général de Failly, où se trouvaient encore toutes les gourmandises destinées au général.
Bataille de Beaumont - Dans la nuit du 29 le 30 En août, le V Corps de l'armée de Châlons du général de Failly repose près de Beaumont-en-Argonne. Ce corps était très épuisé par de longues marches et fut dispersé après une marche sur des chemins de terre en mauvais état et à travers les forêts. Les soldats utilisaient le camp de Beaumont pour se reposer. Les premiers Français y arrivèrent vers minuit, les derniers à l'aube. Les Français étaient là, sans le savoir, entre le IV. Corps comme aile gauche de l'Armée de la Meuse de Prince Albert et le Ier Corps bavarois comme aile droite du 3e Armée du prince héritier. Les Bavarois s'attendaient à ce stade à un contact avec l'ensemble de l'armée française et menèrent donc une reconnaissance intensive à l'aide de cavalerie et d'infanterie légèr