Regardez mes autre ventes sur le même thème

Voir SCANs pour vérifier l'état de la CP


 ATTENTION : si vous voyez des rayures verticales, elles ne sont pas sur la carte, elles sont dues au SCAN.

SI VOUS FAITES PLUSIEURS ACHATS, ATTENDEZ MA DEMANDE DE PAIEMENT OU FAITES-MOI UNE DEMANDE DE FACTURE.

CECI EVITE LE SURCOUT DES FRAIS.

Tarifs concernant les frais pour la France :

- Une carte : 1,59€

- 2 cartes : 1,84€

- 3 cartes : 2,09€ 

A partir de 4 cartes : 2,73€ + 0,25€ par carte à partir de la 2ème

Pour une lettre ‘’suivie’’ : ajouter 0,5€ au total


Tarifs concernant les frais pour l’étranger :

- Une carte : 3,12€

- 2 cartes : 3,37€

- 3 cartes : 3,62€  

A partir de 4 cartes : 4,82€ + 0,25€  par carte à partir de la 2ème

Pour une lettre ‘’suivie’’ : ajouter 2,75€ au total


En cas d'achat de plusieurs cartes, ne payez pas tout de suite, sinon les frais s'additionnent.


 

Joseph Cotten, de son nom complet Joseph Cheshire Cotten, est un acteur américain, né le 15 mai 1905 à Petersburg (Virginie) et mort le 6 février 1994 à Westwood (Californie).
Après avoir œuvré plusieurs années comme journaliste pour divers magazines et d’autres publications, Joseph Cotten commença au début des années 1930 à travailler comme comédien au théâtre. Au milieu de la décennie il rejoignit Orson Welles et son projet théâtral Mercury Theater  et participa entre autres, comme comédien, à sa mise en scène de la pièce de Shakespeare Jules César. Il atteignit l’apogée de sa carrière théâtrale aux côtés de Katharine Hepburn dans la comédie de Philip Barry The Philadelphia Story.

Joseph Cotten accompagna Orson Welles à Hollywood, où en 1941 il obtint un rôle majeur dans son premier film Citizen Kane. Dans le rôle d’un fidèle compagnon du personnage incarné par Welles, Charles Foster Kane, Cotten convainquit la critique et commença une carrière prospère comme interprète de personnages romantiques dans des mélodrames. La même année on le vit avec Merle Oberon dans Lydia de Julien Duvivier. L’année suivante il fut occupé par la production, émaillée de nombreux revers, de Welles, La splendeur des Amberson,  que celui-ci avait également mis en scène. Son meilleur rôle il l’a sans doute tenu dans L’ombre d’un doute sous la direction d’Alfred Hitchcock dans le personnage d’un assassin qui rend visite à sa famille dans une petite bourgade et est soupçonné par sa nièce. 

La carrière hollywoodienne de Joseph Cotten fut consolidée par la signature d’un contrat avec David O. Selznick. La stature de l’acteur grandit en quelques années pour faire de lui un des acteurs les plus demandés pour des films d’amour dramatiques de la décennie aux côtés de grandes stars féminines comme Deanna Durbin dans Liens éternels en 1943 et peu après dans le rôle d’un énigmatique étranger qui sauve à la dernière minute une Ingrid Bergman menacée par la démence dans le film de George Cukor Hantise (1944). La même année il travailla pour la première fois avec le metteur en scène William Dieterle, qui tira lors des années qui suivirent, les meilleures performances des prestations de Joseph Cotten. Dans le projet Etranges vacances Ginger Rogers incarne une jeune femme qui doit lutter secrètement pour son bonheur et contre des préjugés. Quelques mois plus tard on peut voir Cotten en mystérieux admirateur de Claudette Colbert dans le mélodrame à succès Depuis ton départ de John Cromwell. Un des plus grands succès dans la carrière de Joseph Cotten fut Le poids d’un mensonge, toujours de Dieterle, sorti en 1945. Le film le représente en soldat qui écrit sous un faux nom des lettres passionnées à une jeune femme interprétée par Jennifer Jones. Une soudaine amnésie de la jeune femme entraîne bon nombre de complications à surmonter par le couple avant de pouvoir enfin se trouver.

Un certain changement d’habitude fut son rôle dans Duel au soleil, film qui en 1946 entraina d’importantes rentrées financières et qui pour son évocation ouverte de sexe, de violence et de haine raciale provoqua des complications avec la commission de censure. Un des rôles les plus connus de Cotten fut celui dans la comédie politique Ma femme est un grand homme qui fit obtenir à Loretta Young l’Oscar pour son interprétation d’une employée de maison d’origine suédoise embauchée par un élu du congrès des Etats Unis et qui remporta en fin de compte elle-même un siège au congrès. Vers la fin de la décennie, Joseph Cotten tourna encore sous la direction de Dieterle et à nouveau aux côtés de Jennifer Jones et Ethel Barrymore une histoire d’amour qui se déroule sur plusieurs décennies, Le portrait de Jennie (1948). Ensuite il joua le rôle principal dans Le troisième homme de Carol Reed. En 1949 Cotten travailla à nouveau avec Hitchcock et Ingrid Bergman dans le drame Les amants du capricorne, mais le film fut un fiasco financier. A peine plus fructueuse fut sa collaboration avec King Vidor sur La garce où il incarne le mari tourmenté de Bette Davis qui par ses escapades, avortements et infidélités le pousse au désespoir. Un succès suivit sous la direction de Dieterle avec Joan Fontaine dans Les amants de Capri qui sortit dans les cinémas fin 1950. Pendant les années 1950 la partie glorieuse de la carrière de Joseph Cotten était révolue, mais lors des décennies suivantes il resta un acteur de caractère très employé au cinéma et à la télévision. Il incarna entre autres en 1953 le mari de Marilyn Monroe dans le thriller Niagara ainsi que le médecin sournois de Bette Davis dans Chut…chut chère Charlotte en 1964. Il continua également à travailler comme comédien de théâtre et à Broadway on le vit dans des pièces à succès comme Sabrina Fair. Des années plus tard, il fut surtout employé comme acteur de seconds rôles comme dans le thriller de science-fiction Soleil vert (1973) ou comme pasteur chez Michael Cimino dans son western tardif La porte du paradis (1980). Il joua également les invités vedettes dans plusieurs séries télé. Durant l’été 1981 Joseph Cotten subit une crise cardiaque suivie peu après d’une attaque cérébrale, ce qui pendant un temps handicapa son élocution. À la suite de cela, il se retira du cinéma et de la scène.

Joseph Cotten était marié avec Leonore Kipp de 1931 à la mort de celle-ci en 1960. En secondes noces, il fut marié avec l’actrice Patricia Medina. En 1987, il publia son autobiographie Vanity will get you somewhere. En 1994, il mourut à l’âge de 88 ans des suites d’un cancer du poumon. Il est enterré dans le cimetière de Blandford.

Citation
« Orson Welles a désigné Citizen Kane comme son meilleur film, Alfred Hitchcock opte pour L'Ombre d'un doute et Sir Carol Reed a choisi Le Troisième Homme - et je joue dans chacun de ces films1. »

Filmographie sélective

Joseph Cotten dans La Splendeur des Amberson en 1942
1938 : Too much Johnson d'Orson Welles (court-métrage)
1941 : Citizen Kane d'Orson Welles
1941 : Lydia de Julien Duvivier
1942 : La Splendeur des Amberson (The Magnificent Ambersons) d'Orson Welles
1943 : Voyage au pays de la peur (Journey into fear) de Norman Foster
1943 : L'Ombre d'un doute (Shadow of a Doubt) de Alfred Hitchcock
1943 : Liens éternels (Hers to hold) de Frank Ryan
1944 : Hantise (Gaslight) de George Cukor
1944 : Depuis ton départ (Since You Went Away) de John Cromwell
1944 : Étranges Vacances (I'll be seeing you) de William Dieterle
1945 : Le Poids d'un mensonge (Love Letters) de William Dieterle
1946 : Duel au soleil (Duel in the sun) de King Vidor
1947 : Ma femme est un grand homme (The Farmer's Daughter) de H.C. Potter
1948 : Le Portrait de Jennie (Portrait of Jennie) de William Dieterle
1949 : La Garce (Beyond the Forest) de King Vidor
1949 : Le Troisième Homme (The Third Man) de Carol Reed
1949 : Les Amants du Capricorne (Under Capricorn) de Alfred Hitchcock
1950 : Les Amants de Capri (September Affair), de William Dieterle
1950 : Les Rebelles de Fort Thorn (Two flags west) de Robert Wise
1950 : L'Étranger dans la cité (Walk Softly, Stranger) de Robert Stevenson
1951 : Madame sort à minuit (Half Angel) de Richard Sale
1951 : Pékin Express de William Dieterle
1951 : The Man with a Cloak de Fletcher Markle
1952 : Le Piège d'acier (The Steel Trap) d'Andrew L. Stone
1952 : Othello (Othello ou The Tragedy of Othello: The Moor of Venice) d'Orson Welles
1952 : Passage interdit ou La révolte gronde (Untamed Frontier) de Hugo Fregonese
1953 : Niagara de Henry Hathaway
1953 : Meurtre prémédité (A Blueprint for Murder) d'Andrew L. Stone
1955 : Alfred Hitchcock présente Alfred Hitchcock Presents de Alfred Hitchcock
1956 : The Bottom of the Bottle de Henry Hathaway
1956 : Le Tueur s'est évadé (The Killer Is Loose) de Budd Boetticher
1958 : La Soif du mal (Touch of Evil) de Orson Welles
1958 : De la Terre à la Lune (From the Earth to the Moon) de Byron Haskin
1960 : L'Ange pourpre (The Angel Wore Red) de Nunnally Johnson
1961 : El Perdido (The Last Sunset) de Robert Aldrich
1964 : Chut... Chut, chère Charlotte (Hush... Hush, Sweet Charlotte) de Robert Aldrich
1965 : Le Massacre des sioux (The Great Sioux Massacre) de Sidney Salkow
1965 : Piège au grisbi (The Money trap) de Burt Kennedy
1965 : Les Forcenés (Gli uomini dal passo pessante) d'Albert Band et Mario Sequi
1966 : La Statue en or massif (The Oscar) de Russell Rouse
1967 : Diamant d'as / Valet de carreau (Jack of diamonds) de Don Taylor
1967 : Some May Live de Vernon Sewell
1967 : Les Cruels (I crudeli) de Sergio Corbucci
1967 : Brighty (Brighty of Grand Canyon) de Norman Foster
1967 : Gangster' 70 (Un giorno di fuoco / Days of fire) de Mino Guerrini
1968 : Petulia de Richard Lester
1968 : Rio Hondo (Comanche blanco / Hour of vengeance) de José Briz
1969 : Latitude zéro (Kaitei daisenso – Ido zero daisakusen / Latitude zero military tactics) de Inoshiro Honda
1969 : Hollywood : The Selznick years documentaire de Marshall Flaun
1970 : La Sauterelle (The grasshopper) de Jerry Paris
1970 : Tora! Tora! Tora! (Tora! Tora! Tora!) de Richard Fleischer
1971 : L'Abominable Docteur Phibes (The abominable Dr Phibes) de Robert Fuest
1971 : Lady Frankenstein, cette obsédée sexuelle (Lady Frankenstein / La figlia di Frankenstein) d'Aureliano Luppi et Mel Welles
1972 : L'Enterrée vive (The Screaming Woman) de Jack Smight (Téléfilm)
1972 : Baron vampire (Gli orrori del castello di Norimberga / Baron blood) de Mario Bava
1972 : Doomsday voyage de John Vidette
1972 : L'Argent de la vieille de Luigi Comencini
1972 : Les Rues de San Francisco (Série TV) - Saison 1, épisode 18 (A Collection of Eagles) : John R. James
1973 : Soleil vert (Soylent Green) de Richard Fleischer
1973 : A Delicate Balance de Tony Richardson
1975 : Timber Tramps de Tay Garnett
1975 : Vérités et Mensonges (F for Fake) d'Orson Welles
1975 : Bracelets de sang (Il giustiziere sfida la città) d'Umberto Lenzi
1975 : Un sussurro nel buio / A whisper in the dark de Marcello Aliprandi
1977 : L'Ultimatum des trois mercenaires (Twilight's last gleaming) de Robert Aldrich
1977 : Les Naufragés du 747 (Airport '77) de Jerry Jameson
1978 : L'Ordre et la sécurité du monde de Claude d'Anna
1978 : Caravans de James Fargo
1978 : Le Crime du siècle (Indagine su un delitto perfetto) d'Aaron Leviathan
1979 : Le Continent des hommes-poissons (L'Isola degli uomini pesce) de Sergio Martino
1979 : Concorde Affaire '79 de Ruggero Deodato
1979 : Guyana, la secte de l'enfer (Guyana : Crime of the Century) de René Cardona Jr.
1979 : Le Corbillard (The hearse) de George Bowers
1979 : Bizarre, bizarre (Tales of unexpected) S1 episode 7 - De la musique pour les chats (Edward the Conqueror)
1980 ; Bizarre, bizarre (Tales of unexpected) S2 episode10 - Attention à la Peinture (Depart in Peace)
1980 : La Porte du paradis (Heaven's Gate) de Michael Cimino
1980 : La Maison du cauchemar (Delusion / The house where death lives) d'Alan Beattie
1981 : Le Survivant d'un monde parallèle (The Survivor) de David Hemmings





Kores est une entreprise autrichienne spécialisée dans les articles de bureau dont le siège est à Vienne. Elle appartient à la société suisse Kores holding Zug.

Historique
La société a été fondée à Vienne en 1887 par Wilhelm Koreska. Elle produisait des articles de bureau chimiques tels que le papier carbone. Confrontée à la diminution des ventes de papier carbone due à l'évolution des technologies, Kores commença à se concentrer sur la production de bâtons de colle et de produits de correction dans les années 1990. Dans les années 2000, la société élargit sa gamme à des produits comme les scooters, rubans correcteurs 2WAY, Neon bâtons de colle de couleur, stylos-feutre, distributeurs de ruban adhésif, crayons de couleur, crayons de cire, crayons et taille-crayons.

En 2010, Pierre et Robert Koreska ont racheté les droits sur les marques Kores pour les marchés-clés d'Allemagne, France, Italie, Royaume-Uni, Pays-Bas et Scandinavie. La société a lancé en Allemagne un programme complet de consommables pour imprimantes, y compris les cartouches laser, cartouches à jet d'encre et rubans.

En 2011, Kores Prague a célébré ses 15 années de production à son usine de production Strmilov. Kores exploite deux sites de production principaux à Mexico et à Strmilov, en République tchèque.