INTÉRESSANTE STATUETTE DITE « TELLEM » DES DOGON DU MALI – 1960/1970

Aux origines de l’histoire, les Tellem étaient la population d’origine de la région des falaises de Bandiagara, au Mali. Ils en ont été chassés par les Dogon aux alentours du XVème siècle.
Leurs croyances ancestrales se sont mêlées à celles des Dogon qui ont à la fois réemployé, mais surtout continué de produire ce type de statuettes aux bras levés qui ont une place tout à fait à part dans l’art africain.
La particularité des « Tellem » (puisque les Dogon ont conservé pour ces sculptures le nom de l’ethnie qui en était à l’origine) est cette élévation des bras en extension vers le haut, à la verticale, au-dessus de la tête et le culte très important dont elles font l’objet.

Il existe de multiples interprétations pour l’explication de ce geste assez unique dans l’art africain, ces explications multiples se chevauchant parfois les unes les autres :
Il s’agit avant tout d’un geste de prière pour obtenir la pluie.
Chez les Dogon, ces prières sont adressées au dieu suprême Amma et au dieu Nommo. Les prières se pratiquent dans des sanctuaires consacrés aux pratiques des libations et des offrandes aux ancêtres. Elles sont présidées par le Hogon, le chef religieux du village et le responsable du culte du Lébé, le serpent mythique. Au cours de ces cérémonies qui se déroulent au moment des plantations, une bouillie à base de farine de mil, de sang et de bière est versée sur les statues pour les nourrir.

Mais il peut également s’agir d’un geste de supplication afin d'obtenir le pardon de mauvaises actions commises… mauvaises actions qui ont pu entrainer des sécheresses qui touchent ensuite tout le village.

Enfin, selon une légende très ancienne répandue par les Dogon, les Tellem avaient le pouvoir de s'envoler en levant les bras vers le ciel.
Il faut se rappeler que les Dogons possèdent une cosmogonie très élaborée et complexe, que leur relation avec le ciel est particulièrement intime et que don, effectivement, ce geste peut également exprimer le désir d'échapper à sa condition humaine et s'envoler.

PRECISION : LES STATUETTES ET AUTRES MASQUES DE L'ARRIERE PLAN NE SONT PAS A VENDRE POUR LE MOMENT

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Les objets présentés sur ma page sont des objets authentiques, qui ont vécu, été utilisés.
L'oxydation au niveau des fissures et autres cassures du bois témoigne de l'ancienneté et de l'authenticité des pièces mises en vente.
Ils sont, pour la plupart, et par choix, dans leur état originel, et leur ancienneté est une estimation fondée sur l'expérience, le style et le travail des formes.
Il y a toujours des possibilités de datation plus précise en laboratoire (uniquement en Italie) mais qui rendrait de coût de certaines pièces probablement inabordable.
Les éventuels supports ne sont pas vendus avec les masques et statuettes

Les masques et statuettes présentés sur cette page sont mis en vente, pour certains, sur d'autres sites, et en l'absence d'enchère la mise en vente ici, sur Ebay, pourra être clôturée en avance.

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INTERESTING STATUETTE CALLED “TELLEM” OF THE DOGON OF MALI – 1960/1970

At the origins of history, the Tellem were the original population of the Bandiagara cliffs region, in Mali. They were chased out by the Dogon around the 15th century.
Their ancestral beliefs mixed with those of the Dogon who both reused, but above all continued to produce this type of statuettes with raised arms which have a completely separate place in African art.
The particularity of the “Tellem” (since the Dogon have retained for these sculptures the name of the ethnic group which was at the origin) is this elevation of the arms in extension upwards, vertically, above the head and the very important cult to which they are the subject.

There are multiple interpretations for the explanation of this rather unique gesture in African art, these multiple explanations sometimes overlapping one another:
It is above all a gesture of prayer for rain.
Among the Dogon, these prayers are addressed to the supreme god Amma and the god Nommo. Prayers are practiced in sanctuaries dedicated to the practices of libations and offerings to the ancestors. They are presided over by the Hogon, the religious leader of the village and the person responsible for the cult of Lébé, the mythical serpent. During these ceremonies which take place at the time of planting, a porridge made from millet flour, blood and beer is poured over the statues to nourish them.

But it can also be a gesture of supplication in order to obtain forgiveness for bad actions committed... bad actions which could have led to droughts which then affected the entire village.

Finally, according to a very ancient legend spread by the Dogon, the Tellem had the power to fly away by raising their arms towards the sky.
It must be remembered that the Dogons have a very elaborate and complex cosmogony, that their relationship with the sky is particularly intimate and that, indeed, this gesture can also express the desire to escape one's human condition and fly away.

CLARIFICATION: THE STATUETTES AND OTHER MASKS IN THE BACKGROUND ARE NOT FOR SALE AT THE MOMENT

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The objects presented on my page are authentic objects, which have lived, been used.
The oxidation at the level of cracks and other breaks in the wood testifies to the age and authenticity of the pieces offered for sale.
They are, for the most part, and by choice, in their original state, and their age is an estimate based on experience, style and workmanship.
There are always possibilities for more precise dating in the laboratory (only in Italy) but which would make the cost of certain pieces probably unaffordable.
Any supports are not sold with the masks and statuettes

The masks and statuettes presented on this page are for sale, for some, on other sites, and in the absence of an auction the sale here, on Ebay, may be closed in advance.

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INTERESANTE ESTATUETA LLAMADA “TELLEM” DEL DOGON DE MALI – 1960/1970

En los orígenes de la historia, los Tellem eran la población originaria de la región de los acantilados de Bandiagara, en Malí. Fueron expulsados ​​por los Dogon alrededor del siglo XV.
Sus creencias ancestrales se mezclaron con las de los Dogon, quienes reutilizaron, pero sobre todo continuaron produciendo este tipo de estatuillas con los brazos alzados que tienen un lugar completamente aparte en el arte africano.
La particularidad de los “Tellem” (ya que los Dogon han conservado para estas esculturas el nombre de la etnia que les dio origen) es esta elevación de los brazos en extensión hacia arriba, verticalmente, por encima de la cabeza y el culto muy importante al que ellos son el tema.

Hay múltiples interpretaciones para la explicación de este gesto bastante singular en el arte africano, y estas múltiples explicaciones a veces se superponen entre sí:
Es sobre todo un gesto de oración por la lluvia.
Entre los Dogon, estas oraciones están dirigidas al dios supremo Amma y al dios Nommo. Los rezos se practican en santuarios dedicados a la práctica de libaciones y ofrendas a los antepasados. Están presididos por el Hogon, líder religioso del pueblo y responsable del culto a Lébé, la serpiente mítica. Durante estas ceremonias que tienen lugar en el momento de la plantación, se vierte sobre las estatuas una papilla a base de harina de mijo, sangre y cerveza para nutrirlas.

Pero también puede ser un gesto de súplica para obtener perdón por las malas acciones cometidas... malas acciones que podrían haber provocado sequías que luego afectaron a todo el pueblo.

Finalmente, según una leyenda muy antigua difundida por los Dogon, los Tellem tenían el poder de volar levantando los brazos hacia el cielo.
Hay que recordar que los Dogon tienen una cosmogonía muy elaborada y compleja, que su relación con el cielo es particularmente íntima y que, de hecho, este gesto también puede expresar el deseo de escapar de la propia condición humana y volar.

ACLARACIÓN: LAS ESTATUILLAS Y OTRAS MÁSCARAS DEL FONDO NO ESTÁN A LA VENTA POR EL MOMENTO

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Los objetos presentados en mi página son objetos auténticos, que han vivido, han sido utilizados.
La oxidación a nivel de grietas y otras roturas en la madera atestigua la antigüedad y autenticidad de las piezas puestas a la venta.
En su mayor parte, y por elección propia, se encuentran en su estado original, y su edad es una estimación basada en la experiencia, el estilo y la mano de obra.
Siempre hay posibilidades de una datación más precisa en el laboratorio (solo en Italia), pero lo que haría que el costo de ciertas piezas probablemente fuera inasequible.
Los soportes no se venden con las máscaras y estatuillas.

Las máscaras y estatuillas presentadas en esta página están a la venta, para algunos, en otros sitios, y en ausencia de una subasta, la venta aquí, en Ebay, puede cerrarse por adelantado.

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INTERESSANTE STATUETTE NAMENS „TELLEM“ DES DOGON VON MALI – 1960/1970

Zu Beginn der Geschichte waren die Tellem die ursprüngliche Bevölkerung der Bandiagara-Klippenregion in Mali. Sie wurden um das 15. Jahrhundert von den Dogon vertrieben.
Ihre angestammten Überzeugungen vermischten sich mit denen der Dogon, die diese Art von Statuetten mit erhobenen Armen wiederverwendeten, vor allem aber weiterhin herstellten und in der afrikanischen Kunst einen völlig eigenen Platz einnehmen.
Die Besonderheit der „Tellem“ (da die Dogon für diese Skulpturen den Namen der ursprünglichen ethnischen Gruppe beibehalten haben) ist die Erhebung der Arme in vertikaler Richtung über dem Kopf und der sehr wichtige Kult, den sie verehren sie sind das Subjekt.

Für die Erklärung dieser eher einzigartigen Geste in der afrikanischen Kunst gibt es mehrere Interpretationen, die sich manchmal überschneiden:
Es ist vor allem eine Geste des Gebets um Regen.
Bei den Dogon richten sich diese Gebete an den höchsten Gott Amma und den Gott Nommo. Gebete werden in Heiligtümern verrichtet, die der Ausübung von Trankopfern und Opfergaben an die Vorfahren gewidmet sind. Sie werden vom Hogon geleitet, dem religiösen Oberhaupt des Dorfes und Verantwortlichen für den Kult um Lébé, die mythische Schlange. Bei diesen Zeremonien, die zum Zeitpunkt der Pflanzung stattfinden, wird ein Brei aus Hirsemehl, Blut und Bier über die Statuen gegossen, um sie zu nähren.

Es kann aber auch eine Geste des Flehens sein, um Vergebung für begangene schlechte Taten zu erlangen... schlechte Taten, die zu Dürren hätten führen können, die dann das ganze Dorf befallen hätten.

Einer sehr alten Legende der Dogon zufolge hatten die Tellem schließlich die Macht, wegzufliegen, indem sie ihre Arme gen Himmel hoben.
Es muss daran erinnert werden, dass die Dogon eine sehr ausgefeilte und komplexe Kosmogonie haben, dass ihre Beziehung zum Himmel besonders innig ist und dass diese Geste tatsächlich auch den Wunsch ausdrücken kann, der eigenen menschlichen Natur zu entfliehen und davonzufliegen.

ERKLÄRUNG: DIE STATUETTEN UND ANDEREN MASKEN IM HINTERGRUND STEHEN DERZEIT NICHT ZUM VERKAUF

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Die auf meiner Seite präsentierten Objekte sind authentische Objekte, die gelebt haben, verwendet wurden.
Die Oxidation auf der Ebene von Rissen und anderen Brüchen im Holz zeugt vom Alter und der Echtheit der zum Verkauf angebotenen Stücke.
Sie befinden sich größtenteils und freiwillig im Originalzustand und ihr Alter ist eine Schätzung aufgrund von Erfahrung, Stil und Verarbeitung.
Es gibt immer Möglichkeiten für eine genauere Datierung im Labor (nur in Italien), was aber die Kosten für bestimmte Stücke wahrscheinlich unerschwinglich machen würde.
Jegliche Stützen werden nicht mit den Masken und Statuetten verkauft

Die auf dieser Seite präsentierten Masken und Statuetten stehen für einige auf anderen Websites zum Verkauf, und in Ermangelung einer Auktion kann der Verkauf hier bei Ebay im Voraus geschlossen werden.

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INTERESSANTE STATUETTA DETTATA “TELLEM” DEI DOGON DEL MALI – 1960/1970

Alle origini della storia, i Tellem erano la popolazione originaria della regione delle scogliere di Bandiagara, nel Mali. Furono cacciati dai Dogon intorno al XV secolo.
Le loro credenze ancestrali si mescolarono con quelle dei Dogon che riutilizzarono, ma soprattutto continuarono a produrre, questo tipo di statuette con le braccia alzate che hanno un posto del tutto autonomo nell'arte africana.
La particolarità dei “Tellem” (poiché i Dogon hanno conservato per queste sculture il nome dell'etnia che ne era all'origine) è questa elevazione delle braccia in estensione verso l'alto, verticalmente, sopra la testa e l'importantissimo culto a cui sono l'argomento.

Esistono molteplici interpretazioni per la spiegazione di questo gesto piuttosto unico nell'arte africana, queste molteplici spiegazioni a volte si sovrappongono:
È soprattutto un gesto di preghiera per la pioggia.
Tra i Dogon queste preghiere sono rivolte al dio supremo Amma e al dio Nommo. Le preghiere vengono praticate nei santuari dedicati alle pratiche delle libagioni e delle offerte agli antenati. Sono presieduti dall'Hogon, il leader religioso del villaggio e responsabile del culto di Lébé, il mitico serpente. Durante queste cerimonie che si svolgono al momento della piantagione, sulle statue viene versata una pappa a base di farina di miglio, sangue e birra per nutrirle.

Ma può anche essere un gesto di supplica per ottenere il perdono delle cattive azioni commesse... cattive azioni che avrebbero potuto provocare siccità che poi colpirono l'intero villaggio.

Infine, secondo un'antichissima leggenda diffusa dai Dogon, i Tellem avevano il potere di volare alzando le braccia verso il cielo.
Va ricordato che i Dogon hanno una cosmogonia molto elaborata e complessa, che il loro rapporto con il cielo è particolarmente intimo e che, infatti, questo gesto può esprimere anche il desiderio di uscire dalla propria condizione umana e volare via.

PRECISAZIONE: LE STATUETTE E LE ALTRE MASCHERE SULLO SFONDO NON SONO AL MOMENTO IN VENDITA

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Gli oggetti presentati nella mia pagina sono oggetti autentici, vissuti, usati.
L'ossidazione a livello di crepe e altre rotture del legno testimonia l'età e l'autenticità dei pezzi messi in vendita.
Sono, per la maggior parte, e per scelta, nel loro stato originale, e la loro età è una stima basata sull'esperienza, lo stile e la lavorazione.
Ci sono sempre possibilità di datazioni più precise in laboratorio (solo in Italia) ma che renderebbero probabilmente insostenibile il costo di alcuni pezzi.
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