L'Homme Qui ment | Marc Lavoine | Fayard  | 2015 


*Comme Neuf


   Titre : « L’homme qui ment »

        Auteur : Marc LAVOINE

        Editions : FAYARD (14/01/2015)

        Résumé : Communiste et charmeur, cégétiste et volage : tel était Lulu, mon père. Menteur aussi, un peu, beaucoup, passionnément, pour couvrir ses frasques, mais aussi pour rendre la vie plus belle et inattendue.
Lulu avait toujours une grève à organiser ou des affiches à placarder. La nuit venue, il nous embrigadait, ma mère, mon frère et moi, et nous l’aurions suivi au bout du monde en trimballant nos seaux de colle et nos pinceaux. Il nous faisait partager ses rêves, nous étions unis, nous étions heureux.
Evidemment, un jour, les lendemains qui chantent se sont réduits à l’achat d’une nouvelle voiture, et Che Guevara a fini imprimé sur un tee-shirt.
Le clan allait-il survivre à l’érosion de son idéal et aux aventures amoureuses que Lulu avait de plus en plus de mal à cacher ? Collègues, voisines, amies ; brunes, blondes, rousses : ses goûts étaient éclectiques. Lulu était très ouvert d’esprit.
Sans nous en rendre compte, nous avions dansé sur un volcan. L’éruption était inévitable.


« Tu vivais dans un film italien, comme si la vie n’était pas suffisante, pas assez colorée, pas assez tout court. Tu évoquais l’Algérie, ta frustration de ne pas avoir fait médecine à cause de… la guerre, l’argent, la vie et ton mariage peut-être trop tôt. En fait, tu noyais tous ces regrets dans le sexe des femmes, comme pour apaiser les douleurs de ta mémoire, pour soigner l’homme blessé de l’intérieur. Les filles, c’était du sirop, une médecine d’urgence pour apaiser les maux de l’âme et du cœur. Ça pesait dans mon cartable, et je partageais ça avec mon frère, qui essayait de temporiser, évoquant les blessures de Lulu. Ça me clamait de façon passagère, mais ça ne changeait rien. »

Un sujet intime et universel que Marc Lavoine traite sans fausse pudeur, juste avec le cœur. Sophie Delassein, Le Nouvel Observateur.

Un récit très touchant. Judith Korber, Metronews.

Loin de juger son père, le fils en parle avec la tendresse de ceux qui ont pardonné. Nathalie Dupuis, Elle.

 

 

Dimensions : 13,50 x 21,50 x 1,50 cm

190 Pages

Poids: 270

Etat : Comme Neuf. Très légères traces d'usage, le livre n'ayant été lu qu'une seule fois.

Pas d'écritures / rayures / Ecornures.

Intérieur : frais / blanc / comme neuf.

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