Le Blanc  ministre de la guerre  ) 


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Image dans Infobox.

LE SECRETAIRE D'ETAT A LA GUERRE Claude Le Blanc ( en Normandie - à Versailles),



 officier du roi, fut intendant dans plusieurs provinces, membre du Conseil de la guerre et exerça par deux fois la charge de secrétaire d'État de la Guerre. Apprécié du cardinal de Fleury, sa principale réalisation est l'extension des attributions du corps de la gendarmerie, qu'il structura en maréchaussée, avec des compétences de police sur tout le territoire du royaume (1720).
En 1708, il est envoyé aux marches du royaume et nommé intendant de Flandre maritime, en pleine guerre de Succession d'Espagne. Il y fait la démonstration de ses grandes compétences en matière de protection de la population et de renseignements. En effet, il tisse un réseau d'espionnage qui lui permet de connaître les mouvements des navires marchands ravitaillant les Anglais, facilitant ainsi leur interception. Il reste à ce poste jusqu'en 1715. Même Saint-Simon, pourtant très critique envers les intendants, reconnaît sa compétence
. Le Conseil de la guerre est supprimé par une simple lettre du Régent à son président. Le même jour, Le Blanc devient secrétaire d’État de la Guerre

À ce poste, sa principale réforme est celle de la gendarmerie, réorganisée par une ordonnance royale de mars 1720 avec des attributions nouvelles en matière de police territoriale. La vénalité des charges dans ce corps est supprimée, des rapports rédigés sont systématiquement exigés dans le suivi des affaires, et la solde est accrue.

Tirant les conclusions des dernières campagnes de Louis XIV, Le Blanc, sur les conseils du général de Vallière, veut faire de l'artillerie une arme scientifique, avec des officiers formés en conséquence. Dans plusieurs villes de province (La Fère, Châlons-en-Champagne, Strasbourg, Grenoble et Perpignan), il crée cinq régiments-école pour l'artillerie par l'ordonnance royale du 5 février 1720. Chacune des cinq villes concernées abritera un régiment de 4 000 hommes, avec une école d'artillerie à demeure.

Il sera le premier à aider la Bretagne à devenir une province pacifique en surveillant de près ,les mauvais  agissements  de certains régiments  entre 1716  et 1723   (époque de cette correspondance )  



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période régence


nous allons vendre une importante  correspondance de la REGENCE  et en particularité   de claude Blanc ministre d'etat à la guerre , chargé de pacifier  la province de bretagne  
correspondance de plus de 100 lettres   adressées au marquis de Coetquen  gouverneur de Saint Malo et lieutenant général en Bretagne
toutes les lettres sont  relatives  aux divers événements arrivés dans la province de Bretagne entre 1716   et 1721  
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paris le  18 May  1719
agitation des bretons !!
 
 lettre de claude  le Blanc ministre de la guerre    adressée au marquis de Coetquen gouverneur de St Malo
 
lettre  du ministre  annonçant  que l'agitation continue de régner dans les esprits des bretons   et que S.A.R prendra des mesures les plus convenables pour calmer et assurer la tranquillité des états prochain    etc ....

   
Lettre sur une page in folio  en bon état  

signature  autographe    LE BLANC  plus une annotation de sa main







information sur le marquis de COETQUEN

 malo auguste  marquis de COETQUEN  1678-1727, épouse d'abord de Marie de Noailles. Pour sa belle défense de la ville et de la citadelle de Lille, il fut nommé maréchal de camp, en 1708, .

Lors de la bataille de Malplaquet Malo-Auguste de Coëtquen eut une jambe emportée par un boulet de canon. Porteur d’une jambe de bois, son infirmité engendra une légende que mentionne Chateaubriand. Il indique que les « gens étaient persuadés qu’un certain comte de Combourg à jambe de bois, mort depuis trois siècles, apparaissait à certaines époques, et qu’on l’avait rencontré dans le grand escalier de la tourelle ; sa jambe de bois se promenait aussi quelque fois seule avec un chat noir  ». En réalité Chateaubriand évoque Malo III de Coëtquen. L’épisode se retrouve dans les Lectures des Mémoires de M. de Chateaubriand sous forme de recueils publiés en 1834 de manière plus précis

Emmanuel de Durfort, duc de Duras et son épouse Maclovie de Coëtquen duchesse de Duras vendirent la seigneurie de Combourg à René-Auguste de Chateaubriand et Apolline de Bédée, le 3 mai 1761






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