FORMAT GRAND IN-8

RELIE, 431 PAGES. INDEX. ANNEXES DOCUMENTAIRES

BIEN COMPLET de sa JAQUETTE ILLUSTREE 

«　ARCOLE, LES PYRAMIDES, MARENGO, AUSTERLITZ, IENA, EYLAU, FRIEDLAND,

ESSLING WAGRAM, LA MOSKOWA, DRESDE, LEIPZIG, WATERLOO, etc.

Immenses récits, grouillants de soldats et d’armes, de cris, d’ordres, de ruées, d’incendies, de misères, de gloires,…

Telle est, telle apparaît cette première histoire complète de 20 ans de campagnes napoléoniennes.

«　Il ne nous reste plus que l’immense vérité des détails　» dit BALZAC. Est-ce cela ? Ce livre qui semble tout dire, qui dit tout en un sens, fait dire en réalité aux mille détails d’une vie l’essentiel d’une pensée. Car c’est un récit et c’est un portrait: un portrait dynamique ou la pensée est saisie à travers l’action. Pourquoi ?

NAPOLEON ne s’est jamais expliqué, même dans le Mémorial. Sa pensée, sans cesse maintenue au contact de la réalité par la volonté, l’information et l’imagination la plus concrète, est si rapide, si limpide, qu’elle pénètre les actes avant qu’aucun observateur n’ait pu la saisir en elle-même. Elle est comme un héros invisible, un «　 Dieu　» dit CLAUSEWITZ, avec une profondeur que l’on a prise pour une banale outrance.

De cette psychologie, l’auteur a déduit son propre style, la manière de peindre son héros. Il décrit tour à tour tout ce qu’éclaire le regard de l’Empereur: un monde…l’énergie d’un corps d’élite aussi bien que l’emplacement d’une batterie, la vanité d’un chef adverse, l’état des chevaux, la rivalité de deux collaborateurs. Un monde d’objets, de visages, d’actions, d’intentions, qui semblent, à première vue, n’exister que par eux-mêmes, comme des images isolées d’un film, mais dont on sent peu à peu, avec une sorte de saisissement, qu’ils sont la vision d’un génie　».