NAPOLEON ET MARIE LOUISE A BRUGES MAI 1810

Par Antoine VIAENE

EDITIONS UNIVERSITAIRES, 1960
BROCHE, 85 PAGES.
ILLUSTRE DE 12 GRAVURES HORS-TEXTE
TIRAGE LIMITE. IMPRESSION SUR PAPIER DE LUXE.

En 1810 l’étoile de NAPOLEON est à son zénith. La victoire de Wagram, le traité de paix et le mariage avec MARIE-LOUISE, une alliance avec le Tsar, consacrent, sur le continent entier, la puissance et la célébrité de l’Empereur des Français. Mais, dans ce ciel éblouissant, un lourd nuage, un seul, l’irréductible hostilité de l’Angleterre rend impossible la paix définitive. Sur terre l’épuisante guérilla d’Espagne, soutenue par l’Angleterre, cause de graves soucis. Sur mer, les britanniques maintiennent, avec une tenace agressivité, un blocus dont la rigueur exaspère NAPOLEON.

NAPOLEON décide donc en pleine lune de miel, peu de semaines après son mariage, de faire avec MARIE LOUISE, une visite officielle aux PAYS-BAS. Dans les territoires conquis sur l’Autriche et récemment devenus départements français, en face de l’Angleterre, MARIE LOUISE constitue un atout majeur pour la popularité de l’Empereur. Sa présence explique, en grande partie, l’attitude et les impressions de la population accueillant le couple impérial.

Après Bruxelles, Anvers, Ostende et Gand, à Bruges l’accueil est chaleureux à souhait. Mais quels sont, en réalité, les pensées et les sentiments des Brugeois en ce printemps 1810. L’enthousiasme est-il général ou limité aux seuls milieux officiels ? Jusqu’à quel point les Brugeois sont-ils unanimement emportés par le phénomène d’exaltation générale, les cavalcades des Gardes d‘Honneur, les illuminations, les réceptions et les bals, les mats de cocagnes et les réjouissances populaires ?

ETUDE MINUTIEUSEMENT DOCUMENTEE DONNANT UNE RELATION EXACTE ET UNE IMAGE PRECISE

DES GENS ET DES CHOSES LORS DE LA VISITE DU COUPLE IMPERIAL A BRUGES EN MAI 1810

EDITION ORIGINALE.